Catégorie ÉCONOMIE
Documents disponibles dans cette catégorie (390)
Affiner la recherche
Catalunya durant la Guerra civil di a dia, 9. L'economia revolucionà ria / Bonamusa, Francesc
Exemplaires(1)
Cote Support Section Disponibilité Cz0009 Livre Documents en català Disponible
Titre de série : Causerie mensuelle du CIRA de Marseille, 67 Titre : Quelle économie anarchiste? Type de document : enregistrement sonore non musical Auteurs : Michel Sahuc, Auteur Editeur : Marseille [France] : Centre International de Recherches sur l'Anarchisme-Marseille (CIRA-Marseille) Année de publication : 2013 Importance : 90 min ; MP3 Note générale : On est en droit de s’interroger sur l’attitude des anarchistes au sujet de ce qui a pris de nos jours une importance démesurée, le problème lancinant de l’économie.
Il faut dire que dans son histoire, l’anarchisme pour tenter de résoudre les querelles entre les anarchistes collectivistes, communistes et individualistes va parvenir à accepter le concept d’« anarchisme sans adjectif ». Cette position dont l'expression fut créée, dès le XIXe siècle, par Fernando Tarrida del Marmól était une tentative de montrer une plus grande tolérance entre les tendances libertaires et de rendre clair le fait que les anarchistes ne devraient pas imposer de plan économique préconçu à quoi que ce soit, même dans la théorie. L’adoption de cette conception par des militant(e)s comme Voltairine de Cleyre, Ericco Malatesta, Max Nettlau et Élisée Reclus, a porté la majorité de la mouvance anarchiste à rejeter tous modèles économiques comme faux. Cependant, de façon à ce que soit préservée la diversité idéelle en recherchant sa justesse et son équilibre, les anarchistes prendront des positions pluralistes puisant dans chacun de ces modèles dans le cadre de ses fondements substantiels.
Malgré les années et sa remise en cause par les anarcho-communistes puis les anarcho-syndicalistes, cette position est devenue une « tradition » chez de nombreux anarchistes pour qui elle a évolué comme une évidence. Pour ces compagnons, les tendances économiques sont pensées comme d'un « intérêt accessoire » par rapport à l'abolition de l'autorité, sous les formes de l'étatisme et/ou du capitalisme – pourtant des concepts éminemment économiques.
Ils sont de façon pragmatique pour la liberté d'expérimentation comme règle première de la société libre. Cependant de ces expérimentations, ne sont que rarement explicitées des propositions pour l’ici et maintenant. Combien de fois, lorsque certains d’entre-nous veulent avancer des propositions réactualisées ou effectuer des projections économiques, nous sommes arrêtés par des compagnons qui nous disent : « ce n’est pas à nous de décider des formes que prendra la gestion économique, mais au peuple ou à la société ».
Parmi les promoteurs anarchistes, il n’y a guère que Proudhon, Kropotkine, Cornelissen, Besnard pour s’être intéressés de près à l’économie dans son cadre général. Bien sûr, de nombreux militants ont par la suite traité d’économie mais dans des cadres particuliers, comme celui d’un pays et surtout de l’Espagne et de sa révolution. Malheureusement, il nous faut souligner que les développements des organisations anarchistes d’après-guerre, ont souvent pâti de leur accroche parfois excessive au modèle théorique de la Révolution espagnole de 1936-1939. Notre réflexion puisera aussi, mais avec circonspection et sans omettre certaines critiques sur des propositions contemporaines emblématiques d’économies dite « libertaires » comme, l’économie autogestionnaire d’Abraham Guillén Sanz, l’économie participaliste ou participative (participatory economics, en abrégé ParEcon ou Ecopart) de Michael Albert et Robin Hahnel, la démocratie inclusive ou générale de Takis Fotopoulos, l’économie politique mutualiste de Kevin Amos Carson.
Ces manières de voir traduisent l’opposition, qui existe à l’intérieur du mouvement anarcho-libertaire, entre ceux qui croient à la nécessité d’une méthode scientifique pour mener à bien une révolution évolutionniste et rationnelle de la société, au romantisme de ces inconditionnels de la révolution insurrectionnelle décidés à réaliser coûte que coûte un modèle social idéal.
Face à ce constat, nos contradicteurs, soulèvent un problème important, c’est qu’en général les théories anarchistes restent floues et disent peu de chose sur le passage de la société étatique, capitaliste et d’économie de marché transnationale actuelle vers la société proposée par les anarcho-libertaires. En ce sens, ils jugent nos idées comme utopiques et irréalisables.
Pour cela, la question de principe que nous devons d’abord nous poser reste la nécessité de réfléchir et de proposer, d’une façon pragmatique et donc pratique, l’organisation économico-politico-sociale des formes de sociétés à venir.
En tenant nécessairement compte d’un retour aux fondements de l’économie et de la diversité des cultures. Les anarchistes doivent intégrer à leurs réflexions la complexité du monde au risque de bâtir sur du sable. Cette préoccupation reste le principal sujet des anarcho-libertaires pour proposer un autre futur crédible.Langues : Français (fre) Catégories : ÉCONOMIE Permalink : https://bibliotheque.cira-marseille.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&i Causerie mensuelle du CIRA de Marseille, 67. Quelle économie anarchiste? [enregistrement sonore non musical] / Michel Sahuc, Auteur . - Marseille [France] : Centre International de Recherches sur l'Anarchisme-Marseille (CIRA-Marseille), 2013 . - 90 min ; MP3.
On est en droit de s’interroger sur l’attitude des anarchistes au sujet de ce qui a pris de nos jours une importance démesurée, le problème lancinant de l’économie.
Il faut dire que dans son histoire, l’anarchisme pour tenter de résoudre les querelles entre les anarchistes collectivistes, communistes et individualistes va parvenir à accepter le concept d’« anarchisme sans adjectif ». Cette position dont l'expression fut créée, dès le XIXe siècle, par Fernando Tarrida del Marmól était une tentative de montrer une plus grande tolérance entre les tendances libertaires et de rendre clair le fait que les anarchistes ne devraient pas imposer de plan économique préconçu à quoi que ce soit, même dans la théorie. L’adoption de cette conception par des militant(e)s comme Voltairine de Cleyre, Ericco Malatesta, Max Nettlau et Élisée Reclus, a porté la majorité de la mouvance anarchiste à rejeter tous modèles économiques comme faux. Cependant, de façon à ce que soit préservée la diversité idéelle en recherchant sa justesse et son équilibre, les anarchistes prendront des positions pluralistes puisant dans chacun de ces modèles dans le cadre de ses fondements substantiels.
Malgré les années et sa remise en cause par les anarcho-communistes puis les anarcho-syndicalistes, cette position est devenue une « tradition » chez de nombreux anarchistes pour qui elle a évolué comme une évidence. Pour ces compagnons, les tendances économiques sont pensées comme d'un « intérêt accessoire » par rapport à l'abolition de l'autorité, sous les formes de l'étatisme et/ou du capitalisme – pourtant des concepts éminemment économiques.
Ils sont de façon pragmatique pour la liberté d'expérimentation comme règle première de la société libre. Cependant de ces expérimentations, ne sont que rarement explicitées des propositions pour l’ici et maintenant. Combien de fois, lorsque certains d’entre-nous veulent avancer des propositions réactualisées ou effectuer des projections économiques, nous sommes arrêtés par des compagnons qui nous disent : « ce n’est pas à nous de décider des formes que prendra la gestion économique, mais au peuple ou à la société ».
Parmi les promoteurs anarchistes, il n’y a guère que Proudhon, Kropotkine, Cornelissen, Besnard pour s’être intéressés de près à l’économie dans son cadre général. Bien sûr, de nombreux militants ont par la suite traité d’économie mais dans des cadres particuliers, comme celui d’un pays et surtout de l’Espagne et de sa révolution. Malheureusement, il nous faut souligner que les développements des organisations anarchistes d’après-guerre, ont souvent pâti de leur accroche parfois excessive au modèle théorique de la Révolution espagnole de 1936-1939. Notre réflexion puisera aussi, mais avec circonspection et sans omettre certaines critiques sur des propositions contemporaines emblématiques d’économies dite « libertaires » comme, l’économie autogestionnaire d’Abraham Guillén Sanz, l’économie participaliste ou participative (participatory economics, en abrégé ParEcon ou Ecopart) de Michael Albert et Robin Hahnel, la démocratie inclusive ou générale de Takis Fotopoulos, l’économie politique mutualiste de Kevin Amos Carson.
Ces manières de voir traduisent l’opposition, qui existe à l’intérieur du mouvement anarcho-libertaire, entre ceux qui croient à la nécessité d’une méthode scientifique pour mener à bien une révolution évolutionniste et rationnelle de la société, au romantisme de ces inconditionnels de la révolution insurrectionnelle décidés à réaliser coûte que coûte un modèle social idéal.
Face à ce constat, nos contradicteurs, soulèvent un problème important, c’est qu’en général les théories anarchistes restent floues et disent peu de chose sur le passage de la société étatique, capitaliste et d’économie de marché transnationale actuelle vers la société proposée par les anarcho-libertaires. En ce sens, ils jugent nos idées comme utopiques et irréalisables.
Pour cela, la question de principe que nous devons d’abord nous poser reste la nécessité de réfléchir et de proposer, d’une façon pragmatique et donc pratique, l’organisation économico-politico-sociale des formes de sociétés à venir.
En tenant nécessairement compte d’un retour aux fondements de l’économie et de la diversité des cultures. Les anarchistes doivent intégrer à leurs réflexions la complexité du monde au risque de bâtir sur du sable. Cette préoccupation reste le principal sujet des anarcho-libertaires pour proposer un autre futur crédible.
Langues : Français (fre)
Catégories : ÉCONOMIE Permalink : https://bibliotheque.cira-marseille.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&i Exemplaires(1)
Cote Support Section Disponibilité N298 Document numérique Documents en français Disponible Documents numériques
Archive.orgURL Des causes de la crise : modèle libéral et projet proudhonien / Jacques Langlois
Titre : Des causes de la crise : modèle libéral et projet proudhonien Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Langlois, Auteur ; Pierre-Joseph Proudhon (1809–1865), Nom associé Editeur : Saint-Georges d'Oléron [France] : Les Éditions libertaires Année de publication : 2009 Importance : 295 p. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-914980-86-9 Langues : Français (fre) Catégories : CAPITALISME
ÉCONOMIE
MOUVEMENT ANARCHISTE:INTRODUCTION À L'ANARCHISME
SOCIALISME LIBERTAIRERésumé : La crise mondiale actuelle n’est pas un épiphénomène dû à la rapacité des banquiers et autres financiers. Elle résulte des vices cachés de la pensée libérale, tant politique qu’économique, dès ses origines. Le néo-libéralisme de ces trente dernières années ayant simplement aggravé les choses. Le libéralisme, en effet, de par sa « flexibilité », a permis aux « libéraux pratiques » (financiers, manageurs, experts idéologisés, etc.) de s’emparer de L’État pour édicter des politiques favorables au capitalisme, au patrimoine, à la rente et aux riches. Mais les fondements moraux, anthropologiques, culturels, sociologiques, juridiques, économiques du libéralisme ont toujours reposés sur du sable, du vent et des larmes. C’est ce que la crise actuelle qui est une crise de civilisation est en train de prouver. Ce livre compare le libéralisme au proudhonisme. Proudhon étant considéré comme l’un des « pères » de l’anarchisme social. Il compare les fondements des deux doctrines. Il énonce ce qu’il aurait pu en être comme ce qu’il pourrait en être selon une approche proudhonienne des choses et de la vie. Et c’est peu dire que ça laisse pantois ! Et plein d’espoir ! Permalink : https://bibliotheque.cira-marseille.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&i Des causes de la crise : modèle libéral et projet proudhonien [texte imprimé] / Jacques Langlois, Auteur ; Pierre-Joseph Proudhon (1809–1865), Nom associé . - Saint-Georges d'Oléron [France] : Les Éditions libertaires, 2009 . - 295 p. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-914980-86-9
Langues : Français (fre)
Catégories : CAPITALISME
ÉCONOMIE
MOUVEMENT ANARCHISTE:INTRODUCTION À L'ANARCHISME
SOCIALISME LIBERTAIRERésumé : La crise mondiale actuelle n’est pas un épiphénomène dû à la rapacité des banquiers et autres financiers. Elle résulte des vices cachés de la pensée libérale, tant politique qu’économique, dès ses origines. Le néo-libéralisme de ces trente dernières années ayant simplement aggravé les choses. Le libéralisme, en effet, de par sa « flexibilité », a permis aux « libéraux pratiques » (financiers, manageurs, experts idéologisés, etc.) de s’emparer de L’État pour édicter des politiques favorables au capitalisme, au patrimoine, à la rente et aux riches. Mais les fondements moraux, anthropologiques, culturels, sociologiques, juridiques, économiques du libéralisme ont toujours reposés sur du sable, du vent et des larmes. C’est ce que la crise actuelle qui est une crise de civilisation est en train de prouver. Ce livre compare le libéralisme au proudhonisme. Proudhon étant considéré comme l’un des « pères » de l’anarchisme social. Il compare les fondements des deux doctrines. Il énonce ce qu’il aurait pu en être comme ce qu’il pourrait en être selon une approche proudhonienne des choses et de la vie. Et c’est peu dire que ça laisse pantois ! Et plein d’espoir ! Permalink : https://bibliotheque.cira-marseille.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&i Exemplaires(1)
Cote Support Section Disponibilité Af1586 Livre Documents en français Disponible Ce qu'on appelle la crise !! : Ces articles ont paru dans l'Oeuvre aux dates indiquées / Jacques Duboin
Titre : Ce qu'on appelle la crise !! : Ces articles ont paru dans l'Oeuvre aux dates indiquées Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Duboin, Auteur Editeur : Paris : Fustier Année de publication : 1936 Collection : Ligue du droit au travail Importance : 190 p. Format : 19 cm Langues : Français (fre) Catégories : ÉCONOMIE Permalink : https://bibliotheque.cira-marseille.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&i Ce qu'on appelle la crise !! : Ces articles ont paru dans l'Oeuvre aux dates indiquées [texte imprimé] / Jacques Duboin, Auteur . - Paris : Fustier, 1936 . - 190 p. ; 19 cm. - (Ligue du droit au travail) .
Langues : Français (fre)
Catégories : ÉCONOMIE Permalink : https://bibliotheque.cira-marseille.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&i Exemplaires(1)
Cote Support Section Disponibilité Bf1389 Livre Documents en français Disponible Chômeurs heureux berlinois: rapport d'inactivité n° 1, Berlin 1996 & Textes de l'assemblée de Jussieu 97/98 / s.n.
Titre : Chômeurs heureux berlinois: rapport d'inactivité n° 1, Berlin 1996 & Textes de l'assemblée de Jussieu 97/98 Type de document : texte imprimé Auteurs : s.n., Auteur Année de publication : 1999 (?) Importance : 21 p. Présentation : ill., Format : 21 cm Note générale : Titre de couverture : Manifeste des chômeurs heureux Langues : Français (fre) Catégories : CHOMAGE
ÉCONOMIE
TRAVAIL
_Zones géographiques:Europe:Europe de l'Ouest:Allemagne:>1990Résumé : Le chômage ? Pas un problème, peut-être une solution. Comme une traînée de poudre, cette vérité qu’on n’énonçait jusque-là qu’en privé circule maintenant à travers le monde. Personne n’a envie de travailler, mais tout le monde a besoin de fric. Grâce à l’automatisation, le travail disparaît. Ce serait une excellente nouvelle si la richesse était sociale. Mais la question est posée par le capital : comment résorber les travailleurs inutiles ? La logique économique aurait déjà rétabli l’esclavage si elle n’avait aussi besoin de consommateurs. Les chômeurs heureux blasphèment contre un tel chagrin. Un de ces jours, avant qu’il rien finisse avec nous, nous en finirons avec le travail. Permalink : https://bibliotheque.cira-marseille.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&i Chômeurs heureux berlinois: rapport d'inactivité n° 1, Berlin 1996 & Textes de l'assemblée de Jussieu 97/98 [texte imprimé] / s.n., Auteur . - 1999 (?) . - 21 p. : ill., ; 21 cm.
Titre de couverture : Manifeste des chômeurs heureux
Langues : Français (fre)
Catégories : CHOMAGE
ÉCONOMIE
TRAVAIL
_Zones géographiques:Europe:Europe de l'Ouest:Allemagne:>1990Résumé : Le chômage ? Pas un problème, peut-être une solution. Comme une traînée de poudre, cette vérité qu’on n’énonçait jusque-là qu’en privé circule maintenant à travers le monde. Personne n’a envie de travailler, mais tout le monde a besoin de fric. Grâce à l’automatisation, le travail disparaît. Ce serait une excellente nouvelle si la richesse était sociale. Mais la question est posée par le capital : comment résorber les travailleurs inutiles ? La logique économique aurait déjà rétabli l’esclavage si elle n’avait aussi besoin de consommateurs. Les chômeurs heureux blasphèment contre un tel chagrin. Un de ces jours, avant qu’il rien finisse avec nous, nous en finirons avec le travail. Permalink : https://bibliotheque.cira-marseille.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&i Exemplaires(1)
Cote Support Section Disponibilité Brochf4332 Brochure Documents en français Exclu du prêt Chômeurs heureux : rapport d'inactivité n° 1, Berlin 1996
PermalinkClefs pour l'autogestion / Alain Guillerm
PermalinkComment on étouffe un Livre : Les dessous d'une édition; Politique et littérature / Paul Vigné d'Octon
PermalinkLe commerce des armes : Le commerce des armes avec le tiers-monde, la France ; Le commerce international des armes / Beaumont, J.
PermalinkLe commerce véridique et social de Michel-Marie Derrion, Lyon, 1835-1838 : Petites visites chez les utopies coopératives de nos grand-parents / Denis Bayon
PermalinkCommunisme : Eléments de réflexion (1) / s.n.
PermalinkLe communisme libertaire : ses possibilités en Espagne / Isaac Puente
Permalinkle communisme et la liberté : Le communisme est-il conciliable avec l'individualisme / L. Deslinières
PermalinkLa conférence d'Albuquerque / Noam Chomsky
PermalinkLa conquête du pain / Kropotkin Kropotkine, Pierre
PermalinkLa conquête du pain : 1890 / Kropotkin Kropotkine, Pierre
PermalinkLes consommateurs ouvrent leurs épiceries : Épi, Épicerie associative, Supermarché coopératif, Coopérative alimentaire autogérée : quel modèle choisir pour votre ville ou votre village ? / Jean-Claude Richard
PermalinkLa consommation engagée / Sophie Dubuisson-Quellier
PermalinkLes Contes du Berger : ses méditations [suivi de] Périr ou distribuer ou du gouvernement des gens à l'administration des choses / Gaston Britel
PermalinkContre attac : Du leurre sur toast. Tromperie sur la marchandise. La fuite en avant et la poursuite du même / Barthélémy Schwartz ; Claude Guillon
PermalinkContre les dogmes / Han Ryner
PermalinkContre l'oligarchie financière en France :la réponse de Lysis aux établissements de crédit / Lysis
PermalinkContre la politique : Pas un seul cheveu blanc n'a poussé sur nos rêves / Maresia Dalua
PermalinkContrer l'AGCS c'est ici et maintenant ! / Syndicat Culture Spectacle de la Région Parisienne
PermalinkContribution à l'élaboration d'une science de la vie : Éléments de Sociologie / Marc Iel
Permalink