Titre : |
La grève des ovalistes : [Lyon, juin-juillet 1869] |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Claire Auzias (1951-2024), Auteur ; Annik Houel, Auteur ; Michelle Perrot, Préfacier, etc. |
Editeur : |
Lyon [France] : Atelier de création libertaire (ACL) |
Année de publication : |
2016 |
Importance : |
180 p. |
Présentation : |
Ill. Cuv., Ill |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-35104-093-5 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
ASSOCIATION INTERNATIONALE DES TRAVAILLEURS (AIT) FÉMINISME GRÈVE:GRÈVE GÉNÉRALE LUTTES OUVRIÈRES
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Résumé : |
André Bösiger était-il l’incarnation de l’anarchisme suisse, le vénérable ancêtre d’un mouvement sur le déclin, comme certains ont pu l’écrire ? Non, il était un homme de son temps, de sa classe, du mouvement ouvrier révolutionnaire, comme beaucoup d’anonymes y compris dans ce pays. Ce qui le distingue d’autres, c’est la volonté qu’il avait de raconter sa vie, de transmettre aux jeunes son expérience et ses idées ; c’est aussi une fidélité indéfectible aux idéaux de sa jeunesse alors que, dans l’après-guerre, certains militants anarchosyndicalistes ? et non des moindres ? choisiront de rompre avec le mouvement pour s’engager dans une voie réformiste. André était un rebelle et il le resta, assurant avec quelques autres la continuité du mouvement anarchiste à Genève pendant la deuxième moitié du XXe siècle. |
Permalink : |
https://bibliotheque.cira-marseille.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&i |
La grève des ovalistes : [Lyon, juin-juillet 1869] [texte imprimé] / Claire Auzias (1951-2024), Auteur ; Annik Houel, Auteur ; Michelle Perrot, Préfacier, etc. . - Lyon [France] : Atelier de création libertaire (ACL), 2016 . - 180 p. : Ill. Cuv., Ill ; 21 cm. ISBN : 978-2-35104-093-5 Langues : Français ( fre)
Catégories : |
ASSOCIATION INTERNATIONALE DES TRAVAILLEURS (AIT) FÉMINISME GRÈVE:GRÈVE GÉNÉRALE LUTTES OUVRIÈRES
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Résumé : |
André Bösiger était-il l’incarnation de l’anarchisme suisse, le vénérable ancêtre d’un mouvement sur le déclin, comme certains ont pu l’écrire ? Non, il était un homme de son temps, de sa classe, du mouvement ouvrier révolutionnaire, comme beaucoup d’anonymes y compris dans ce pays. Ce qui le distingue d’autres, c’est la volonté qu’il avait de raconter sa vie, de transmettre aux jeunes son expérience et ses idées ; c’est aussi une fidélité indéfectible aux idéaux de sa jeunesse alors que, dans l’après-guerre, certains militants anarchosyndicalistes ? et non des moindres ? choisiront de rompre avec le mouvement pour s’engager dans une voie réformiste. André était un rebelle et il le resta, assurant avec quelques autres la continuité du mouvement anarchiste à Genève pendant la deuxième moitié du XXe siècle. |
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