| Titre : |
L'Anarchie |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Errico Malatesta (1853-1932), Auteur ; Serge Roy, Préfacier, etc. |
| Editeur : |
Montréal [Canada] : Lux |
| Année de publication : |
2012 |
| Collection : |
Instinct de liberté |
| Importance : |
110 p. |
| Format : |
19 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-89596-151-2 |
| Langues : |
Français (fre) Langues originales : Italien (ita) |
| Catégories : |
ANARCHISME
LIBERTÉ
_Zones géographiques:Europe:Europe de l'Ouest:Italie
|
| Résumé : |
Ayant vécu enchaîné depuis sa naissance et étant l’héritier d’une longue série d’esclaves, l’homme a cru, quand il a commencé à penser, que l’esclavage était la caractéristique même de la vie, et la liberté lui est apparue comme étant chose impossible. De la même façon, contraint depuis des siècles et donc habitué à attendre du patron le travail, c’est-à -dire le pain, et à voir sa propre vie perpétuellement à la merci de celui qui possède la terre et le capital, le travailleur a fini par croire que c’est le patron qui lui permet de manger et il se demande naïvement comment il pourrait vivre si les maîtres n’existaient pas. |
| Permalink : |
https://bibliotheque.cira-marseille.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&i |
L'Anarchie [texte imprimé] / Errico Malatesta (1853-1932), Auteur ; Serge Roy, Préfacier, etc. . - Montréal [Canada] : Lux, 2012 . - 110 p. ; 19 cm. - ( Instinct de liberté) . ISBN : 978-2-89596-151-2 Langues : Français ( fre) Langues originales : Italien ( ita)
| Catégories : |
ANARCHISME
LIBERTÉ
_Zones géographiques:Europe:Europe de l'Ouest:Italie
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| Résumé : |
Ayant vécu enchaîné depuis sa naissance et étant l’héritier d’une longue série d’esclaves, l’homme a cru, quand il a commencé à penser, que l’esclavage était la caractéristique même de la vie, et la liberté lui est apparue comme étant chose impossible. De la même façon, contraint depuis des siècles et donc habitué à attendre du patron le travail, c’est-à -dire le pain, et à voir sa propre vie perpétuellement à la merci de celui qui possède la terre et le capital, le travailleur a fini par croire que c’est le patron qui lui permet de manger et il se demande naïvement comment il pourrait vivre si les maîtres n’existaient pas. |
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