Titre : |
Mécislas Golberg : Disgrâce couronnée d'épines, Journal d'un homme qui meurt, Suivi d'un choix de lettres, de “Dans la contagion de Mécislas Golberg” et d'un Envoi aux “littérateurs” parisiens “Je voudrais...” |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Mécislas Golberg, Auteur ; André Rouveyre, Auteur ; Catherine Coquio (1960-), Présentateur |
Editeur : |
Rennes [France] : Pontcerq |
Année de publication : |
2018 |
Importance : |
289 p. |
Présentation : |
ill. |
Format : |
20 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-919648-23-8 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
LITTÉRATURE:Mémoires _Types de documents:CORRESPONDANCES
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Résumé : |
Disgrâce couronnée d’épines est un journal de malade écrit d’octobre 1906 à décembre 1907 par Mécislas Golberg, dans un sanatorium, à la fin de sa vie. C’est un journal d’agonie qui pense la mort au jour le jour. C’est un texte d’une grande puissance littéraire qui permet de découvrir Mécislas Golberg, écrivain fascinant et méconnu, exilé polonais à Paris, anarchiste, poète, critique d’art, bohémien, journaliste et fondateur de la revue libertaire Sur le trimard. André Gide voyait en lui « une extraordinaire figure » et Apollinaire, « un homme auquel nous devons quelques-uns des livres les plus élevés et les plus émouvants de notre temps ». |
Permalink : |
https://bibliotheque.cira-marseille.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&i |
Mécislas Golberg : Disgrâce couronnée d'épines, Journal d'un homme qui meurt, Suivi d'un choix de lettres, de “Dans la contagion de Mécislas Golberg” et d'un Envoi aux “littérateurs” parisiens “Je voudrais...” [texte imprimé] / Mécislas Golberg, Auteur ; André Rouveyre, Auteur ; Catherine Coquio (1960-), Présentateur . - Rennes [France] : Pontcerq, 2018 . - 289 p. : ill. ; 20 cm. ISBN : 978-2-919648-23-8 Langues : Français ( fre)
Catégories : |
LITTÉRATURE:Mémoires _Types de documents:CORRESPONDANCES
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Résumé : |
Disgrâce couronnée d’épines est un journal de malade écrit d’octobre 1906 à décembre 1907 par Mécislas Golberg, dans un sanatorium, à la fin de sa vie. C’est un journal d’agonie qui pense la mort au jour le jour. C’est un texte d’une grande puissance littéraire qui permet de découvrir Mécislas Golberg, écrivain fascinant et méconnu, exilé polonais à Paris, anarchiste, poète, critique d’art, bohémien, journaliste et fondateur de la revue libertaire Sur le trimard. André Gide voyait en lui « une extraordinaire figure » et Apollinaire, « un homme auquel nous devons quelques-uns des livres les plus élevés et les plus émouvants de notre temps ». |
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