| Titre : |
Les travailleurs de la nuit |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Alexandre Jacob, Auteur |
| Editeur : |
Montreuil [France] : L'insomniaque |
| Année de publication : |
1999 |
| Collection : |
à couteaux tirés |
| Importance : |
157 p. |
| Présentation : |
Broché, couv. ill. |
| Format : |
15 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-908744-50-7 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
ILLEGALISME _Zones géographiques:Europe:Europe de l'Ouest:France:1919-1939
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| Résumé : |
Vous savez maintenant qui je suis : un révolté vivant du produit des cambriolages. De plus, j’ai incendié plusieurs hôtels et défendu ma liberté contre l’agression d’agents du pouvoir. l’ai mis à nu toute mon existence de lutte ; je la soumets comme un problème à vos intelligences. Ne reconnaissant à personne le droit de me juger, je n’implore ni pardon, ni indulgence. le ne sollicite pas ceux que je hais et méprise. Vous êtes les plus forts ! Disposez de moi comme vous l’entendrez, envoyez-moi au bagne ou à l’échafaud, peu m’importe ! Mais, avant de nous séparer, laissez moi vous dire un dernier mot. |
| Permalink : |
https://bibliotheque.cira-marseille.info/opac_css/index.php?lvl=notice_display&i |
Les travailleurs de la nuit [texte imprimé] / Alexandre Jacob, Auteur . - Montreuil [France] : L'insomniaque, 1999 . - 157 p. : Broché, couv. ill. ; 15 cm. - ( à couteaux tirés) . ISBN : 978-2-908744-50-7 Langues : Français ( fre) | Catégories : |
ILLEGALISME _Zones géographiques:Europe:Europe de l'Ouest:France:1919-1939
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| Résumé : |
Vous savez maintenant qui je suis : un révolté vivant du produit des cambriolages. De plus, j’ai incendié plusieurs hôtels et défendu ma liberté contre l’agression d’agents du pouvoir. l’ai mis à nu toute mon existence de lutte ; je la soumets comme un problème à vos intelligences. Ne reconnaissant à personne le droit de me juger, je n’implore ni pardon, ni indulgence. le ne sollicite pas ceux que je hais et méprise. Vous êtes les plus forts ! Disposez de moi comme vous l’entendrez, envoyez-moi au bagne ou à l’échafaud, peu m’importe ! Mais, avant de nous séparer, laissez moi vous dire un dernier mot. |
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